La Guerre d’Algérie : une pure invention politicienne de convenance ?

 

De simples revendications corporatistes initiales mises au service de la propagande flniste et anti-harkis !!!

 

 

 

caricature d'époque sur la pacification en Algérie

 

 

Qui aurait cru que les « lobbies de pression », de la part d’associations d’anciens combattants, revendiquant, depuis fort longtemps, la reconnaissance officielle, par l’Etat français, de la « pacification algérienne », en Guerre d’Algérie, dans la perspective d’obtenir quelques avantages personnels et complémentaires, notamment,  pour les « appelés métropolitains du contingent », allaient se retourner contre la France et, inévitablement, contre les harkis ?

 

A une époque où le politique prétend ne pas être habilité à « écrire » l’Histoire, on se souvient, avec amertume, de cette loi socialiste et gauche plurielle du 18 octobre 1999 adoptée, en première lecture, le 10 juin 1999, par l’Assemblée Nationale et, entérinée, ensuite, par le Sénat, le 5 octobre 1999, afin de requalifier les « évènements » en véritable « guerre ».

 

Guerre soit, mais contre qui et qui ?

 

En effet, il est inconcevable de prétendre qu’il s’agit, en l’espèce, d’une guerre (au sens juridique et étymologique du terme), opposant deux Etats souverains et leurs armées respectives, puisque l’Algérie, entre 1830 et 1962, c’était, au-delà de toute idéologie et autre anachronisme, la France une et indivisible.

 

Alors qu’était-ce donc, une guerre civile ? Pas vraiment, car il n’existait, entre 1954 et 1961 (année de démarrage des pourparles préliminaires aux Accords d'Evian), aucune fraction significative, du peuple algérien (toutes ethnies et religions confondues), s’affrontant, les unes contre les autres, pour justifier cette « appellation ».

 

En conséquence, il ne reste que la formule : « rébellion émanant d’un groupuscule terroriste », qui semble être, à l’évidence, l’expression la plus idoine, pour désigner, ces fameux « évènements », d’autant plus que le FLN n’était ni le peuple algérien et ni un Etat à part entière, avant d’avoir réussi, son « exploit », de passer de « formation terroriste » à « signataire remis in bonis des Accords d’Evian ».

 

De plus et contrairement aux autres « vraies guerres », on ne relève aucune « bataille notoire et notable » engageant, deux armées régulières, dans des « hostilités frontales », ce qui corrobore l’usurpation de cette « sémantique galvaudée » et, au service, désormais, du FLN et de sa propagande anti-harkis et anti-français.

 

Par ailleurs, cette nouvelle "donnée"  aurait dû remettre en cause, les Accords d’Evian et ses multiples violations, par le FLN, en vue d’annuler, toutes les amnisties en vigueur, essentiellement, sur la base des « Conventions de Genève », afin de poursuivre, le cas échéant, tous les « criminels de guerre », de part et d’autre, car une véritable guerre est régie par des règles de droit international et, aucunement, par des législations nationales rétroactives.

 

Et que font nos « historiens partiaux et à géométrie variable » pendant ce temps-là ? Ils se laissent aveugler, par leur idéologie et leur parti pris, comme si dénoncer la réalité, de cette « fausse guerre », entravait la légitimité, du Peuple algérien, à obtenir son indépendance mais, rappelons-nous, aussi, que le FLN s’est empressé d’instaurer, une dictature liberticide et corrompue, dans ce territoire, fallacieusement, « libéré », qui est, toujours, de triste actualité !!!

 

Il est plus que temps de stopper, cette « falsification de l’histoire » entretenue, par ces « anachronismes révisionnistes et négationnistes », laissant supposer, à tort, que, par un beau matin de novembre 1954, il existait un Peuple algérien (représenté par le FLN) qui aurait déclaré, dans sa majorité, la guerre à la France ! Mais, de qui se moque-t-on Mesdames et Messieurs les historiens au service de la propagande flniste et marxiste ?

 

Je reviendrai, cette semaine, sur ce sujet très sensible, qu’il est temps de mettre dans le débat public et politique.

 

Affaire à suivre…

 

Khader MOULFI

 

 

Contact : Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.