Les 100000 demandes de nationalité française qui désavouent le FLN !!!

Réhabilitation de fait, des harkis, par les "anciens colonisés" souhaitant redevenir Français !!!

"Même s'il n'en restait qu'un, je serai celui-là !!!" (d'habitant en Algérie en exode massif)

 

Depuis des lustres, la Coalition Nationale des Harkis et des Associations de Harkis ne cesse de dénoncer, la propagande flniste, tendant à faire passer, à tort, pour des « héros populaires et romanesques », une « clique de terroristes assassins remis in bonis », par la France et, qui ont réussi un magistral « hold-up » en s’accaparant, sans aucune légitimité, l’Algérie.

Qu’on se le dise, le peuple algérien avait rejeté, de 1954 à 1961, le FLN, qui avait, aussi, semé, le « chaos », au sein des « Français dits musulmans », par des « exactions innommables » (viols, rafles, racket, meurtres gratuits et sadiques pour l’exemple, …), ce qui avait conduit, nombre d’entre eux, à s’enrôler dans les forces supplétives de l’armée française (communément appelées les harkis).

Et, les harkis avaient contribué, essentiellement, à protéger, les populations civiles (incluant les Français d’origines arabes et berbères), qui les acclamaient et les recevaient, en « sauveurs », contrairement à la propagande fallacieuse et nationaliste, de l’après 19 mars 1962, propagée et imposée par le FLN.

Pour exemple, le Général François MEYER (à l’époque Lieutenant au 23e Spahis d’Oran) raconte dans son livre, « Pour l’honneur… avec les harkis » (aux éditions CLD), l’accueil très chaleureux, notamment, de la part des tribus nomades, eu égard à l’escorte militaire, de leurs caravanes, dans le désert, qui se faisaient, auparavant, piller, en permanence, par l’Armée de Libération Nationale (ALN, branche armée de fortune du FLN), ayant contraint, ces bédouins, à suspendre leurs activités ancestrales.

Bien entendu, tout a basculé, à compter de 1961, quand le Général de Gaulle décida, le « retrait anarchique et précipité », de l’Algérie, engendrant les « marsiens » (les résistants de la 25ème heure) qui devinrent, des « monstres assoiffés de sang ultra-zélés », dans la perspective d’obtenir des cartes de moudjahid rétroactives pour en tirer quelques maigres privilèges (voler la maison d’un voisin, décrocher un emploi de pompiste ou une licence d’importation pour un véhicule, …). Le peuple, lui-aussi, retourna sa veste, contraint et forcé, puisque n’oublions pas que la devise du FLN est : « si vous n’êtes pas avec nous, vous êtes contre nous ! » (sous-entendant une mort atroce et certaine pour le récalcitrant).

En outre, l’intoxication du FLN, appuyée par leurs « historiens officiels », a réécrit, la « pacification algérienne », en la transformant, par anachronismes et autre mythomanie, en une « guerre » (objet d’une loi révisionniste de la gauche plurielle en date du 18 octobre 1999), censée opposer, deux armées et deux territoires souverains, ce qui est une « hérésie chronologique » mais, il leur fallait, ces « légendes révolutionnaires », pour stigmatiser, ad vitam aeternam, les harkis, en les qualifiant de « traîtres » à leur patrie (laquelle au fait car FLN LAND n’est pas et ne sera jamais notre pays ?).

Chimère de plus, quand le FLN prétend, sans le moindre complexe, avoir « gagné », militairement, la guerre. Alors, que tout le monde sait que l’ALN avait été décimée par l’armée française. Il convient d’indiquer que la plupart des cadres flnistes (incluant BOUTEFLIKA) n’ont, jamais, combattu et, qu’ils étaient soit des « planqués » (en Tunisie, au Maroc, en Egypte) soit des « prisonniers » ou des "combattants à distance" en France.

Pour plus d’informations, je vous invite à lire et/ou à relire mes articles et éditoriaux précédents relatant, de manière exhaustive et objective, le déroulement des « évènements » en Algérie.

Après s’être entre-tués pour la prise du pouvoir, les « satrapes algériens » ont, aussitôt, instauré, une « dictature militaire » (de type marxiste soviétique) afin de contrôler, le « peuple fraîchement libéré » (du purgatoire colonial pour l’enfer flniste) et, force est de constater la singularité de cette indépendance douteuse et de façade.

Par ailleurs et outre l’épisode FIS (premier camouflet cinglant envers le FLN rejeté par la Nation algérienne), on se souvient que toute la jeunesse algéroise avait ovationné, Jacques CHIRAC, en lui lançant des « visas, visas » d’anthologie, démontrant une volonté unanime de venir chez l’ancien « occupant nazi » (dixit BOUTEFLIKA mais ses ressortissants pensaient différemment à l’évidence).

Or et à présent, nous apprenons, de sources officielles, que plus de 100000 demandes de réintégration, dans leur nationalité française, d’Algériens d’Algérie, l’ayant détenue avant le 19 mars 1962, viennent d’être déposées, dans nos consulats ( ?). Ce « scoop » remet en question, toutes les « déclarations anti-français et anti-harkis » proférées, de manière récurrente, par le « gnome despotique du FLN », Ziziz BOUTEFLIKA, car ce sont, cette fois-ci, des personnes qui ont vécu, la « présence française », qui plébiscitent, en masse, ce retour vers leur ancienne « mère-patrie », en reconnaissant, implicitement, que leur « indépendance tant louée », n’était, en réalité, qu’une vaste « supercherie » et une propagande à laquelle plus personne ne croit.

Ce revirement assez prévisible vient réhabiliter, le « choix des harkis », qui avaient pris, dès 1954, la résolution, de combattre, le FLN, car même les « pseudos nationalistes algériens » ne veulent plus, dorénavant, de cette « mafia corrompue et tyrannique », ce qui vient corroborer, explicitement, que les harkis avaient vu juste et qu’ils n’étaient pas des « traîtres » car le Front de Libération Nationale n’était ni le peuple algérien ni son libérateur mais, uniquement, de vils « terroristes criminels » (auteurs pleutres, notamment, du génocide, de 150000 harkis désarmés, intervenu après la fin des hostilités).

Enfin, faut-il réintégrer, ces 100000 Algériens, dans notre Nation ? Sans aucun doute, la réponse est NON car ils ont fait un choix et ils doivent l’assumer. A cet effet, j’appelle tous les députés responsables à exiger, une commission parlementaire, pour suivre, de très près, le traitement administratif de ces dossiers singuliers (à quelques mois d'élections majeures, dans l'hexagone, serait-ce une immigration d'électeurs choisis ?).

Depuis des décennies, l’Etat français tente de nous convaincre, de l’impossibilité d’une mise en place d’un vrai « plan harki » (en vue de réparer tous nos terribles préjudices occasionnés par les félonies étatiques), en raison de l’énorme dette publique, alors nous ne comprendrions pas ces éventuelles 100000 naturalisations et les frais y afférents. Cependant, nous sommes hostiles à subir, davantage, les atermoiements et les « mesurettes », de nos dirigeants, qui doivent prendre, sans délai, leurs responsabilités, dans le « drame harki » (cf. mes articles précédents pour en savoir plus sur le sujet).

Conclusions, plus de 44 années de propagande, de la part du FLN, pour rien, car ses « indignitaires » viennent de recevoir une « gifle » retentissante par leur propre population.

Khader MOULFI

P.S. Message personnel pour mes détracteurs anonymes. Vraiment, vous me décevez, mes braves ennemis, car je pensais qu'avec votre haine tenace et votre racisme anti-harkis, vous seriez plus inventifs dans vos menaces et autres injures à mon égard. Or, vous restez dans le "basique", en matière d'invectives et d'intimidations en ce sens, alors innovez un peu SVP. Au fait, il faudra que je vous donne la bonne orthographe des noms d'oiseaux à mon encontre (ne me remerciez pas et je sais que mon bon cœur me perdra un jour mais ne suis-je pas le dernier bon samaritain sur terre ?) !!!

 

 

 

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