La Coalition Nationale des Harkis et des Associations de Harkis soutiendra Amid TOUALBIA dans cette plainte abusive, à son encontre, déposée par Messaoud BENYOUCEF, raciste anti-harkis.

Communiqué de la Coalition Nationale des Harkis et des Associations de Harkis

 

La Coalition Nationale des Harkis et des Associations de Harkis a décidé d’apporter, son soutien effectif et indéfectible, à Amid TOUALBIA (webmaster de harkis.org qui fut le premier site web militant en faveur des anciens supplétifs et leurs familles ayant vu le jour en 2002), en se rendant, le jeudi 7 septembre 2006, à 09H30, devant le Tribunal de Grande Instance d’Angoulême, en la présence de son porte-parole et coordinateur, Khader MOULFI et, d’une petite délégation, en préambule, le cas échéant, à une action nationale d’envergure.

Il convient d’indiquer que M. TOUALBIA s’y verra notifier, ce jour-là, une mise en examen pour le chef d’injures publiques, de la part de Madame ROUQIER-LAFITE, Vice-Présidente chargée de l’instruction, alors qu’il ne pèse aucune charge sérieuse sur le susnommé.

En l’espèce, notre infortuné "webmaster RONA " (RONA = rapatrié d’origine nord africaine) n’est ni l’auteur, de ces propos réputés injurieux, par le juge d’instruction, ni un "organe de presse professionnel " soumis à une réglementation et autre responsabilité de plein droit.

Par ailleurs, le plaignant dénué de tous scrupules, en l’occurrence, M. Messaoud BENYOUCEF, est un "raciste anti-harkis " déclaré et assumé. Ce ressortissant algérien (ou binational) arrivé, sur notre territoire, en 1994 et, bénéficiant d’un poste de chargé de mission, près le Ministère de la Culture et de la Communication, est, aussi, l’odieux auteur, d’une consternante pièce du théâtre subventionné (par nos deniers publics au service de la propagande nationaliste du FLN) : " Le Nom du Père ", qui allègue, de manière perfide et fasciste, l’existence d’une "généalogie de la trahison " concernant les harkis et leurs descendances respectives (comprenez une hérédité de traîtres de père en fils et ainsi de suite !), ce qui est beaucoup plus grave que les faits reprochés à Amid TOUALBIA.

Dans ce contexte, un "corbeau " (non-identifié à ce jour par ce magistrat n’instruisant pas, à l’évidence, à décharge), avait cru devoir écrire, sur le forum de harkis.org, des "noms d’oiseaux ", à l’encontre du Sieur BENYOUCEF, qui est le seul et unique provocateur via sa très médiocre "œuvre théâtrale " faisant l’apologie du "racisme anti-harkis ".

Pour être complet, il importe de préciser que M. TOUALBIA avait retiré, lesdits écrits supposés diffamatoires, dès prise de connaissance de ceux-ci. En outre, M. BENYOUCEF n’avait pas estimé, en son temps, la nécessité d’interpeller, l’administrateur de harkis.org, afin de requérir le retrait des textes controversés. Cette saisine immédiate de la justice, sans aucune mise en demeure préalable, permet de s’interroger, sur les véritables "desseins ", du plaignant flniste algérien (ou binational) venu, jusque dans nos terres, insulter les harkis (les très valeureux anciens combattants de la France), alors qu'il avait fuit, lâchement, son "cher pays", l'Algérie, pour chercher la sécurité chez "le méchant occupant colonial".  

On pourrait spéculer, en toute objectivité, qu’un mauvais auteur algérien frustré (en quête de fortune et gloire) et, de surcroît, "raciste anti-harkis ", dont la pièce fut un "flop " retentissant, aurait pu rédiger, lui-même, ces écrits et, ainsi, créer cette polémique, afin d’intéresser, au moyen d’une "victimisation outrancière ", la presse, les médias mais, surtout, un public.

Quand on sait que, chaque jour, les "racistes anti-harkis " se déchaînent (sur les skyblogs de SKYROCK, dans les disques de rap et de musique maghrébine nationaliste, …), on s’explique, très mal, que l’Etat français et ses institutions (incluant la justice) puissent s’acharner, abusivement, sur un militant harki n’ayant rien à se reprocher.

Par conséquent, notre collectif donne rendez-vous, à la presse et aux médias, à partir de 09H00, pour une conférence sur place (devant le TGI d’Angoulême), car l’opinion publique se doit d’être informée, sur la situation très alarmante et honteuse, des harkis et leurs familles, dans leur propre pays. Et, le tout à une vingtaine de jours, de la sixième édition de la "journée d’hommage national aux anciens des forces supplétives de l’armée française ", du 25 septembre, que nous envisageons de boycotter, derechef, en raison de son caractère très hypocrite et dénué de toute sincérité étatique.

Nous comptons, également, sur la participation, des élus locaux, des présidents d’associations de harkis, de pieds-noirs et d’anciens combattants (très passifs et silencieux sur la question) et de tous les "gens de bonne volonté " soucieux de dire STOP à toutes les persécutions et humiliations, à l’égard des harkis et leurs familles, depuis 1962, au regard du " service rendu à la mère-patrie en danger ".

Khader MOULFI

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P.S. Pour une meilleure compréhension du dossier, je vous préconise de lire et/ou de relire, les articles et forums faisant état de cette affaire : http://www.coalition-harkis.com/content/view/66/2/, http://www.coalition-harkis.com/component/option,com_simpleboard/Itemid,27/func,view/id,98/catid,4/ et http://www.coalition-harkis.com/component/option,com_simpleboard/Itemid,27/func,view/id,156/catid,4/.