Les harkis et leurs familles sont interdits, par décision judiciaire, de légitime défense face aux racistes anti-harkis !!!

Mis en examen, abusivement, suite à la plainte du raciste anti-harkis et réfugié algérien, Messaoud BENYOUCEF, il nous faut, désormais, "sauver le soldat TOUALBIA" (militant actif de la cause harkie) !!!

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Jeudi 07 septembre à 09H30 devant le Tribunal de Grande Instance d'Angoulême
De gauche à droite : Khader MOULFI, le Docteur Robert DIACONO (président de la FNR), Amid TOUALBIA et son avocat charentais Maître Jean-François CHANGEUR

 

Depuis un certain temps, Nicolas SARKOZY se félicite d’avoir fait abroger, pour les ressortissants étrangers délinquants et/ou criminels, la double peine. Or, force est de constater que les harkis et leurs familles continuent à subir, au sein de la « mère-patrie », des « persécutions en série », pour leur « choix patriotique et prémonitoire », de combattre les « terroristes flnistes », durant la « pacification algérienne », entre 1954 et jusqu’au 19 mars 1962 à 12 heures (date du cessez-le-feu violé, aussitôt, par le FLN et leurs « marsiens », engendrant le génocide de 150000 anciens supplétifs et de plusieurs milliers de pieds-noirs).

 

Fuyant, dorénavant et en dépit de leur "arrogance de façade", les « méfaits de la décolonisation » (dictature et corruption du FLN, misère, …), une multitude de « pseudos intellos algériens » (nationalistes en paroles mais pas dans leurs actes) est venue trouver un « refuge économique », chez leur « ancien occupant nazi » (dixit BOUTEFLIKA et la plupart des hauts indignitaires de ce despotat relayés par leurs journaux officiels de propagande), en s’abstenant d’afficher, évidemment, la « reconnaissance du ventre », en dénigrant, au plus fort, la France, les Français et, bien entendu, les harkis et leurs familles.

 

L’un de ces « opportunistes schizophrènes », en l’occurrence,  Messaoud BENYOUCEF, s’est retrouvé, pour des raisons obscures, promu, dès son arrivée en 1994, en France, chargé de mission fictive, auprès du Ministère de la Culture et de la Communication, sans en avoir la légitimité et la compétence  (ce traducteur d’œuvres littéraires arabes en français s’est vu confier, iniquement et mystérieusement, le secteur de la danse).

 

En outre, le Sieur BENYOUCEF a profité, de cette « aubaine professionnelle », pour se faire financer, via nos deniers publics, une  très affligeante pièce de théâtre intitulée : « Le Nom du Père », développant une odieuse « thèse fasciste et révisionniste », à savoir : la « généalogie de la trahison » (selon ce raciste anti-harkis affirmé, le harki étant un traître, sa descendance le sera, inévitablement, ad vitam aeternam), ce qui est, déjà en soi, délictuel, choquant et indécent !!!

Néanmoins, en lieu et place de faire profil bas, eu égard à ses « turpitudes inqualifiables et répréhensibles », ce médiocre « auteur algérien réfugié » a cru devoir déposer une plainte, à l’encontre d’Amid TOUALBIA (webmaster du site : http://www.harkis.org/), suite à un « message anonyme et peu élogieux », envers celui-ci, de la part d’un « internaute furieux » et fustigeant, à sa manière, ces « propos anti-harkis ».

Plutôt que de demander, tout simplement, auprès de M. TOUALBIA, le retrait de ces écrits réputés injurieux, Messaoud BENYOUCEF s’est acharné à saisir, la justice française, qui vient de mettre en examen, depuis le 7 septembre dernier, notre « infortuné et innocent webmaster », pour des faits dénués de toute intention délictuelle dont il n’est ni l’auteur ni le responsable de plein droit (un site amateur n’étant pas un organe de presse professionnel soumis à une très stricte réglementation).

 

Il est vrai que ledit « plaignant anti-harkis » fait, lui-même, l’objet d’une action judiciaire pénale, pendante devant le Tribunal Correctionnel de Paris (17ème Chambre), sans préjudicier d’autres procédures à venir, avec une première audience fixée, au vendredi 15 septembre 2006 à 13H30 et, qu’il est profitable, pour notre « provocateur », de se victimiser à outrance, en vue d’éventuelles circonstances atténuantes, car ses « assertions perfides » sont plus graves que les petits « noms d’oiseaux » proférés par le « corbeau virtuel » (non-identifié, à ce jour, par l’instruction menée, exclusivement, à charge).

 

Par ailleurs, sa consternante « pièce du théâtre subventionné » (et véhiculant le racisme anti-harkis) fut, de notoriété publique, un « flop retentissant » et, il convient de s’interroger, également, sur la règle basique en matière d’investigations : « A qui profite le crime ? ». Mais élémentaire mes chers amis, à celui qui détient quelque chose à vendre, pour s’attirer l’attention de la presse, des médias et, surtout, d’un public ayant boudé son « navet artistique » !!!

 

C’est pourquoi, la Coalition Nationale des Harkis et des Associations de Harkis, en ma présence et celle d’une très petite délégation, s’est rendue, le jeudi 7 septembre à 09H30, devant le T.G.I d’Angoulême, à l’instar du Docteur Robert DIACONO (Président de la Fédération Nationale des Rapatriés –FNR), pour soutenir Amid TOUALBIA (accompagné de son avocat charentais Maître Jean-François CHANGEUR).

 

A présent, nous comptons amplifier, nos actions, si d’aventure un non-lieu définitif n’était pas accordé, à très juste titre, car aucune charge sérieuse ne pèse, en fait, sur notre « inculpé par défaut », tout en soutenant, au plus fort, que le « corbeau » a agi en « légitime défense littérale » car le seul et unique « protagoniste », dans cette sordide affaire, n’est que Messaoud BENYOUCEF qui a injurié et diffamé, sciemment, nos valeureux anciens combattants de la France.

 

A noter qu’un appel à contribution sera, prochainement, lancé, car Amid TOUALBIA n’est pas en mesure d’assurer, avec ses faibles moyens financiers, ses frais d’avocat (les modalités de dons seront définies, sous peu, sur notre site et ceux de nos partenaires et amis).

 

Enfin, à une quinzaine de jours, de la sixième édition, de la « Journée d’hommage national aux harkis », en date du 25 septembre, on s’explique, très mal, que de telles « dérives » puissent, encore, exister. Que fait notre Président de la République Jacques CHIRAC ? Mais aussi, le reste de la classe politique ?

 

Nous prévoyons, dans ce contexte, de réitérer, une fois encore, notre "boycott" du 25 septembre !!!

 

Khader MOULFI

 

Contact : Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.

 

P.S. Vous pouvez, bien entendu, réagir et intervenir sur le forum ouvert sur ce sujet : http://www.coalition-harkis.com/component/option,com_simpleboard/Itemid,27/func,view/id,98/catid,4/.