Bonjour Gergovia, Nanou et à toutes et tous les internautes,
Avant de pouvoir chiffrer, la dette nationale envers les harkis, encore faudrait-il que le Chef de l'Etat (l'ectoplasmique président Jacques CHIRAC), puisse, conformément à ses engagements non-tenus, reconnaître, la responsabilité de l'Etat français, dans le "drame harki".
Il ne s'agit, en rien, de repentance mais, tout simplement, de ne plus nier des faits historiques, indéniables et avérés, envers des soldats français et leurs familles (trahis et abandonnés en nouvelle terre ennemie flniste, par la mère-patrie, qui les a livrés désarmés, à leurs bourreaux, qui ont massacré plus de 150000 anciens supplétifs après le cessez-le-feu violé et le processus de remise, de l'Algérie clé en main, aucunement, au peuple souverain mais, à des terroristes corrompus et sanguinaires. Sans parler du reste des traitements inhumains et dégradants que nous ne cessons de dénoncer depuis des années).
En effet, avant de réparer, il faut reconnaître, la faute étatique, au préalable, à l'instar des préjudices y afférents, dans la perspective de nous accorder, un véritable statut de "victimes de la déraison d'Etat" mais, il faudrait que Jacques CHIRAC se comporte comme un grand Homme d'Etat (comme le fut, le Général de Gaulle, avant de sombrer dans ses turpitudes irresponsables voire criminelles dans la solution finale harkie) !!!
Bien entendu, nous sommes disposés à travailler, avec tous les politiciens de bonne volonté (et peu important leur couleur politique), pour les conseiller dans le bon sens.
Car il est temps de cesser, le "gâchis financier", dans les "mesurettes RONA stériles". La dernière en date, un pseudo plan de préparation au concours d'entrée, dans le milieu hospitalier, en faveur des enfants de harkis, ce qui a coûté, en l'occurrence, la modique somme de 1 million EUR, sur l'initiative unilatérale, de la Mission Interministérielle aux Rapatriés, qui ferait mieux d'écouter, avec modestie et pragmatisme, le public concerné et de cesser son arrogance et sa "gestion coloniale" à notre égard.
A qui profite le crime ? A de soi-disant recruteurs mandatés, par la MIR, en l'occasion, qui s'en sont mis, une fois de plus, plein les fouilles, aux dépens des RONA !!!
Quand aurons-nous, une vraie commission parlementaire qui se penchera sur les détournements de fonds, depuis 1962, sans le moindre résultat effectif, dans l'insertion des enfants de harkis ?
Affaire à suivre...
Très cordialement
Khader MOULFI