Bonjour Azur, Cléopâtre et à toutes et tous les internautes,
La situation vécue, par Jamel DEBBOUZE, est "tragicomique" car je ne sais pas si l'on doit en rire et/ou en pleurer, tant cela prend une "tournure grand-guignolesque".
Néanmoins, une chose est sûre, ce n'est pas la "gratitude" qui étouffera le FLN et une partie du peuple algérien approuvant son gouvernement de "despotes corrompus", car ce désaveu cinglant, à l'égard de Jamel DEBBOUZE (principale locomotive ayant réussi à convaincre le Roi du Maroc à investir, à l'instar de l'Etat français et de nos collectivité, dans ce projet cinématographique de propagande, tout en ayant utilisé, son nom et sa notoriété, pour obtenir la médiatisation massive de ce "navet") est SURPRENANT !!!
On sait que le susmentionné comique franco-marocain avait fait la une, il y a peu, des journaux officiels flnistes (eh oui il n'y a pas de presse indépendante en Algérie, l'un des méfaits de la décolonisation manquée !), au regard de ses déclarations partisanes, envers la politique chérifienne relative au conflit saharien et, apparemment, il en paie, à présent, les frais, en devenant persona non grata en "territoire flniste" !!!
Le pire est que le réalisateur franco-algérien, Rachid BOUCHAREB (réputé ami de ce pauvre Jamel), n'a pas cru devoir afficher, sa solidarité, en refusant d'aller, en Algérie, afin de dénoncer ce refus de visa, puisqu'il a décidé de s'y rendre en dépit de cette situation vexatoire à l'égard de Mister DEBBOUZE !
On est loin de la "fraternité de façade", lors de la promotion, des "Indigènes" et, l'on voit l'opportunisme réel et unilatéral, du Sieur BOUCHAREB, qui a réussi à faire passer, dans la sélection algérienne au Festival de Cannes, ce film financé, majoritairement, par des deniers publics français et marocains !
A présent, le nationalisme flniste prend le pas et, les arrivistes viennent de "virer", Jamel DEBBOUZE, devenu inutile pour la suite de l'intoxication car le prochain épisode est la "répression sanglante mais justifiée de Sétif en date du 08 mai 1945".
Très cordialement
Khader MOULFI