Jacques CHIRAC est aux "abonnés absents" pendant que la presse et les médias censurent la Coalition Nationale des Harkis et des Associations de Harkis (très bel exemple de démocratie et de liberté d'expression de la part des pouvoirs en place).
Bonjour à toutes et tous les internautes,
Comme nous l'appréhendions, à juste titre, notre Président de la République n'a que faire, des "doléances", des RONA et de ses concitoyens, car il n'est "actif" que dans la politique étrangère où personne ne l'écoute au demeurant puisqu'un "Chef de l'Etat, fantôme chez lui, l'est aussi à l'extérieur" !!!
Pourtant, nous avons adressé, depuis le 04 août dernier, plusieurs télécopies et mails, à son intention, son Secrétaire Général, son Conseiller, son Premier Ministre, son Ministre d'Etat et de l'Intérieur, son Ministre délégué aux Anciens Combattants, le Président de la Mission Interministérielle aux Rapatriés, ... Bref, M. CHIRAC ne pourrait alléguer, dans ce contexte, ignorer, notre "lettre ouverte", qu'il tente, à l'évidence, de faire refermer via sa sempiternelle "politique de l'autruche".
De plus, nous sommes consternés, par la "censure", de la part de la presse et des médias, qui entravent, iniquement et partialement, le "droit à l'information", des Françaises et des Français, car comment leur serait-il possible de connaître, la vérité sur le "drame harki", si personne n'en parle ?
Quand nous voyons, toutes les rédactions nationales se mobiliser, pour le cas d'un seul "clandestin" (rappelons-le délinquant par définition car nul n'a le droit de s'imposer sur notre territoire), il y a de quoi rester "affligés", par ce mépris étatique et médiatique, à l'égard d'une "communauté d'intérêt général aussi particulière et trahie que les harkis et leurs familles" (forte d'environ 800000 âmes) !!!
Fort heureusement, notre message continue à se propager, en France et à l'étranger, par l'intermédiaire de sites et de blogs qui nous diffusent, de leur propre initiative, partout.
Bien entendu, nous ferons, à tous les protagonistes (politiques et de l'info), une "piqûre de rappel", dans une quinzaine de jours.
Affaire à suivre...
Khader MOULFI